Je m’embarrasse en réfléchissant à l’encombrement.
Je me tasse, me perds, me plie, me courbe, j’enjambe et je me cogne, mais je m’accommode.
Je trouve toujours les objets trop lourds quand vient le temps de les déplacer, comme s’ils s’accrochent à l’espace plus que moi. Sont-ils des ancres, des biens ou des poids? Ce qui est certain, c’est qu’ils s’accumulent.
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